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Andy Roddick
7
7
4
6
0
Fabio Fognini
5
61
6
4
0
Roddick
-
Fognini
Score
3h02
Jeu, set et match Roddick ! Une dernière grosse première balle que Fognini ne parvient pas à contrôler en revers et l'affaire est entendue. Belle accolade entre les deux hommes. Roddick n'est pas encore à la retraite, il rejoint Del Potro en huitièmes de finale.
3h00
Set 4
3h00
6
-
4
7-5 7-6 4-6 6-4
+
2h59
40-0, un Ace maintenant et voilà trois balles de match
2h59
30-0, service-volée de Roddick
2h59
15-0, Roddick va de l'avant, le passing de Fognini finit sa course dans le filet
2h57
Service tenu sans problème par Fognini. Roddick au service pour une place en huitièmes de finale de cet US Open.
2h56
5
-
4
7-5 7-6 4-6 5-4
+
2h56
Break confirmé pour Roddick et Fognini va donc servir pour rester dans le match
2h54
5
-
3
7-5 7-6 4-6 5-3
+
2h51
Le break pour Roddick ! L'Américain fait craquer Fognini au terme d'un jeu sous haute tension et prend à nouveau une belle option sur la qualification pour les huitièmes. Voyons s'il parvient à confirmer son break cette fois-ci.
2h49
4
-
3
7-5 7-6 4-6 4-3
+
2h44
3
-
3
7-5 7-6 4-6 3-3
+
2h37
2
-
3
7-5 7-6 4-6 2-3
+
2h33
2
-
2
7-5 7-6 4-6 2-2
+
2h29
2
-
1
7-5 7-6 4-6 2-1
+
2h27
1
-
1
7-5 7-6 4-6 1-1
+
2h23
0
-
1
7-5 7-6 4-6 0-1
+
2h21
Le break au meilleur moment pour Fognini qui empoche du même coup la troisième manche. Roddick n'est pas encore sorti d'affaire, loin de là !
2h19
Set 3
2h19
4
-
6
7-5 7-6 4-6
+
2h10
4
-
5
7-5 7-6 4-5
+
2h06
4
-
4
7-5 7-6 4-4
+
2h00
3
-
4
7-5 7-6 3-4
+
1h56
3
-
3
7-5 7-6 3-3
+
1h53
2
-
3
7-5 7-6 2-3
+
1h47
2
-
2
7-5 7-6 2-2
+
1h41
1
-
2
7-5 7-6 1-2
+
1h39
1
-
1
7-5 7-6 1-1
+
1h35
0
-
1
7-5 7-6 0-1
+
1h32
La première est la bonne pour Roddick qui prend ainsi une très sérieuse option sur la victoire dans ce match. Il mène deux manches à rien.
1h31
6-1, une double faute et un point gagné au filet par Roddick, triple mini-break et cinq balle de set pour l'Américain
1h31
4-1, suite à deux aces de Roddick
1h30
Set 2
1h30
7
-
6
7-5 7-6
+
1h30
Quel passing de Roddick ! Au terme d'un point splendide, Fognini se présente au filet et Roddick réussit le passing de coup droit parfait, 2-1, le mini-break est fait
1h29
C'est un tie-break qui va départager les deux hommes dans ce deuxième set
1h25
6
-
6
7-5 6-6
+
1h22
6
-
5
7-5 6-5
+
1h19
5
-
5
7-5 5-5
+
1h14
5
-
4
7-5 5-4
+
1h12
4
-
4
7-5 4-4
+
1h08
4
-
3
7-5 4-3
+
1h05
3
-
3
7-5 3-3
+
1h00
3
-
2
7-5 3-2
+
0h59
2
-
2
7-5 2-2
+
0h53
2
-
1
7-5 2-1
+
0h50
1
-
1
7-5 1-1
+
0h47
0
-
1
7-5 0-1
+
0h42
Set 1
0h42
7
-
5
7-5
+
0h37
6
-
5
6-5
+
0h32
5
-
5
5-5
+
0h30
Petit coup de moins bien pour Roddick qui concède sa mise ne jeu alors qu'il servait pour le set. Sans en faire réellement plus, Fognini va avoir l'occasion de recoller au score dans ce premier acte.
0h28
5
-
4
5-4
+
0h22
5
-
3
5-3
+
0h20
5
-
2
5-2
+
0h17
4
-
2
4-2
+
0h14
4
-
1
4-1
+
0h10
3
-
1
3-1
+
0h08
L'annonce de sa retraite à l'issue de cet US Open continue de bien réussir à Andy Roddick qui réalise un nouveau très bon début de match sur l'Arthur Ashe Stadium.
0h08
3
-
0
3-0
+
0h03
2
-
0
2-0
+
0h00
1
-
0
1-0
+
Jeu de service
Break
Inconnu
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Sinner, philosophe : "Je suis déçu, mais ça fait partie de mon processus de croissance" Jannik Sinner a été battu par Carlos Alcaraz (2-6, 6-3, 3-6, 6-4, 6-3) dans le choc des demi-finales, présenté comme la finale avant la lettre, de ce Roland-Garros 2024. Forcément déçu, l’Italien s’est toutefois montré très serein et philosophe, comme souvent, en conférence de presse d’après-match. Il voit cette défaite comme une étape nécessaire dans le chemin vers son plus haut niveau. Jannik Sinner : "Je pense que c’était un grand match, assurément. Dans les sets qu’il a gagnés, il a mieux joué les points importants que moi, c’était la clé. Je suis bien sûr déçu de la façon dont ça s’est fini. Mais cela fait partie de ma croissance et du processus global. En repensant au début du tournoi, je suis évidemment très content d’avoir atteint ce stade. Et d’un autre côté, je suis déçu par rapport au match d’aujourd’hui. Je continue de regarder vers l’avant pour m’améliorer. J’essaye de faire de mon mieux, et nous verrons ce que je peux faire dans le futur, ici dans ce tournoi. Le côté positif est que je me suis amélioré comparé à l’an dernier (défaite au 2e tour). Il y a une autre occasion de jouer ici pour les Jeux Olympiques, on verra comment ça se passe. Je pense que nous nous étudions mutuellement très bien (avec Alcaraz). Vous pouvez voir un petit peu de tension des deux côtés des fois. C’est parce que, doucement, nous nous connaissons un peu mieux. Et à chaque fois que nous jouons l’un contre l’autre, nous nous attendons à certaines choses. Et, pour brouiller les pistes, nous faisons des choix différents parfois sur le court.  Je pense que la prochaine fois sera différente. Nous verrons sur quelle surface nous jouerons, car c’est aussi très important. Au meilleur des 3 sets ou au meilleur des 5 sets, c’est aussi différent. En Grand Chelem, c’est une approche différente.  Mais c’est excitant et je suis pressé, j’espère, d’en jouer d’autres."
Stats - Alcaraz devance à nouveau Federer, Nadal et Djokovic En se qualifiant pour la finale de cette édition 2024 de Roland-Garros, Carlos Alcaraz a battu un nouveau record de précocité. Il est devenu le premier joueur de l'Ère Open à se qualifier pour une finale du Grand Chelem sur chacune des trois surfaces (dur, gazon, terre battue) avant ses 22 ans. Avant 22 ans, Roger Federer avait joué et gagné une finale en Grand Chelem, à Wimbledon (2003), seulement sur gazon. Novak Djokovic avait joué et gagné une finale en Grand Chelem, à l'Open d'Australie (2008), seulement sur dur. Et Rafael Nadal avait joué et gagné quatre finales en Grand Chelem, toutes à Roland-Garros (2005, 2006, 2007, 2008), seulement sur terre battue. Aucun des trois plus grands joueurs de l'histoire ne s'était donc montré aussi polyvalent qu'Alcaraz à un si jeune âge.
Ruud dépité : "Pourquoi ces douleurs au ventre sont arrivées aujourd'hui ?" Casper Ruud était clairement diminué physiquement lors de sa défaite face à Alexander Zverev, ce vendredi, en demi-finale de Roland-Garros (2-6, 6-2, 6-4, 6-2). Alors que tout allait bien ces derniers jours, le Norvégien était dépité que ces symptômes arrivent précisément au moment de jouer ce match si important pour lui. C'est ce qu'il a confié lors de la conférence de presse d'après-match. Casper Ruud : "C'est un peu dommage. J'ai bien commencé. Mais vers le milieu ou la fin de la première manche, j'ai commencé à ressentir un certain malaise, une douleur à l'estomac. Je n'ai donc pas pu maintenir l'intensité et le niveau d'énergie. C'est quelque chose qui me gênait. Cela me limitait en quelque sorte. C'est dommage. J'ai gagné le premier set, donc c'était une bonne sensation, mais je ne me sentais pas très bien même dans ce premier set. Les trois derniers se sont déroulés rapidement parce que Sascha a bien joué, bien sûr, mais je n'ai pas pu pratiquer le genre de tennis que j'aime jouer, avec intensité, parce que j'étais un peu limité par mon estomac. Je ne veux pas trouver d'excuses, mais c'est frustrant et décevant. Je suis juste, vous savez, déçue que ce soit aujourd'hui. Pourquoi ça n'a pas été hier ou avant-hier alors que j'avais trois jours de repos ?"
Zverev soulagé : “Je suis vraiment très heureux d’y être arrivé” Quatre ans après son immense désillusion en finale de l’US Open (battu par Dominic Thiem, 2-6, 4-6, 6-4, 6-3, 7-6), Alexander Zverev va à nouveau vivre une finale de Majeur. En effet, après trois échecs consécutifs en demi-finale de Roland-Garros, il a cette fois franchi le cap. Vainqueur d’un Casper Ruud diminué par un virus (2-6, 6-2, 6-4, 6-2 en 2h37), l’Allemand défiera Alcaraz ce dimanche. Interrogé suite à sa victoire, le champion de 27 ans n’a pas caché son bonheur. Après tant d'années de travail, il retrouve la finale d’un Grand Chelem : “Je ne peux pas décrire les émotions que je ressens, honnêtement. Je suis vraiment très heureux d’y être arrivé, spécialement sur ce court où il y a tellement d’histoires qui se sont déroulées. J’ai eu mes meilleurs et mes pires souvenirs sur ce court et finalement, je vais arriver en finale après ma quatrième demi-finale ici. Donc, je suis vraiment très content de revenir dimanche.” Questionné sur son adversaire, l’Allemand a décrit dans des termes très élogieux sa victime du soir : “Je dois l’être (meilleur qu’il y a quelques années). J’ai dû l’être aujourd’hui parce que vous avez bien vu comment le premier set s’est déroulé. Casper est vraiment le joueur qui peut attendre son heure et vous empêcher de jouer votre jeu. L’année dernière, j’ai perdu contre lui très largement et le premier set je l’ai perdu largement aussi donc je savais qu’il fallait que je sois beaucoup plus agressif. Il fallait vraiment le prendre à la gorge tout le temps et j’ai réussi à le faire aujourd’hui. Je suis vraiment content d’être en finale. Zverev est également revenu sur la méforme physique de son adversaire, visiblement affaibli par une maladie d’ordre gastrique. Très honnête, il a expliqué l’avoir bien sûr remarqué : “Oui, j’ai vu qu’il se passait quelque chose pour lui. Je crois que les deux premiers sets ont été à un niveau vraiment incroyable. De sa part et de ma part aussi. Mais, à la fin du deuxième set, j’ai vu qu’il commençait à bouger beaucoup plus lentement et je me suis rendu compte qu’il ne se sentait pas bien, mais qu’il faisait encore de très beaux coups. Et, au vu de ses déplacements, si je commençais à être plus passif, ça lui aurait permis de gagner le match. Il faut vraiment le féliciter parce qu’il a joué jusqu’au bout et il s’est bien battu jusqu’au bout. Oui, c’est un grand champion et super gars, et je sais qu’il sera de retour ici." Avant de quitter le court, le joueur d’1,98m (6'6'') est également revenu sur un assez mauvais souvenir, sa première finale en majeur. En joueur expérimenté, il a expliqué : “Bon oui, je menais deux sets à zéro, j’étais à deux points de gagner le match et puis voilà. Comme je l’ai déjà dit, je vais encore le dire maintenant, je n’étais pas prêt à ce moment-là à gagner mon premier Grand Chelem. Domi (Thiem) l’était, pas moi. Je n’étais pas prêt. Je n’étais pas suffisamment mûr pour ça. Peut-être que j’étais juste encore trop enfant et que je ne comprenais pas tout à fait la signification de cette occasion unique qui se présentait. C’est pour ça que j’ai perdu. Maintenant, j’ai 27 ans, je ne suis plus un gamin et je prends de l’âge. Si ce n’est pas maintenant, c’est quand alors ? C’est quand ?”
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