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Zverev nous explique tout : "Mon père m'a éduqué à l'espagnole" Alexander Zverev, qui défie Casper Ruud ce vendredi en demies de Roland-Garros, s'est régulièrement vu reprocher son trop grand attentisme sur les terrains de tennis. Alors qu'il possède des capacités offensives indéniables, l'Allemand se laisse souvent embarquer dans des points à rallonge, jouant les essuie-glaces en fond de court. Très étonnant pour un joueur qui mesure presque 2 mètres (198cm/6'6") et pèse 90 kilos (198 lbs). Mais cette option tactique surprenante ne doit rien au hasard. Elle trouve son origine dans les jeunes années de Zverev, lorsque son père, qui a toujours été son coach, l'a poussé à développer les qualités athlétiques qui sont les siennes aujourd'hui. C'est ce que nous a expliqué, non sans humour, le n°4 mondial après sa victoire sur Alex De Minaur en quarts de finale (voir vidéo ci-dessous). Alexander Zverev : "J'ai de la chance, j'ai un coach qui est mon père, qui ne pourrait pas moins se préoccuper de comment je me sens. Donc, depuis que j'ai 3 ans, il me dit 'cours par ici, cours par là, cours pendant 4 heures de suite'. Et il oublie parfois que je mesure 2 mètres et que je peux aussi frapper des services à 230 km/h (143 mph). Mais il m'a définitivement éduqué à la manière espagnole (rires). Courir après tout et remettre la balle dans le court. Et parfois ça paye. J'aimerais être plus agressif dans mon jeu des fois, mais si je gagne, je suis content. Je suis en demi-finales et c'est tout ce qui compte."
Ferrero prévient Sinner : “Nous savons que Carlos (Alcaraz) a une chance de gagner” Juan Carlos Ferrero, en bon mentor, place ses espoirs dans Alcaraz pour l’affrontement de demain face au nouveau numéro 1 mondial, Jannik Sinner. Et pour cause, après un début de tournoi en demi-teinte, le jeune Espagnol a sublimé le court Philippe Chatrier en quart de finale contre Tsitsipas (6-3, 7-6, 6-4). Juste de quoi laisser son entraîneur penser que : “Si Carlos (Alcaraz) joue à son niveau, nous savons qu'il a une chance de gagner n'importe quel tournoi auquel il participe.”. Le duel de ce vendredi, très attendu depuis le tirage au sort et auquel certains prêtent des allures de finale anticipée, sera donc l’occasion pour les deux étoiles montantes du tennis de s’affronter. Moment qui n’avait pas eu lieu depuis mars, lors du tournoi d’Indian Wells, où ‘Carlito’ avait mis fin à la série d’invincibilité de son rival italien (19 victoires depuis la Coupe Davis en novembre 2023). Depuis lors, et comme l’explique Ferrero, les progrès se comptent des deux côtés du filet : “Jannik s’est beaucoup amélioré sur cette surface, dans sa variété de jeu. Il joue plus de coups et fait un peu plus de montées vers le filet. Il a évolué et s'entraîne pour cela. Carlos sait comment il doit jouer et Jannik aussi.” Alcaraz ayant été blessé au bras et Sinner à la hanche, c’est à un affrontement de revenants auquel on assistera cette après-midi. À force de détermination et de talent, ils se sont hissés jusqu’à la demi-finale et il serait bien difficile, à cette heure, de savoir qui jouera dimanche (finale messieurs). À ce sujet, Ferrero s’est exprimé, s’il croit en son joueur, pour lui : “Tous deux ont quitté certains tournois sur terre battue à cause de leurs blessures. Ils sont à égalité en termes de favori.”. Que son chemin porte d’Auteuil s’arrête ce vendredi après-midi ou qu’il se prolonge jusqu’à dimanche, Carlos Alcaraz pourra compter sur le soutien sans faille de Ferrero qui avoue lui-même, dans un sourire, être :  “Parfois entraîneur, parfois ami”, mais laisser toutefois : “le rôle de père à son père.”
Paolini, personnalité atypique : "Je ne suis pas comme Sinner ou Djokovic" Jasmine Paolini : "Vous savez, quand j'ai débuté le tennis, je m'amusais juste, je ne rêvais pas trop. Puis j'ai commencé à m'entraîner comme une joueuse professionnelle. Je rêvais de devenir une joueuse professionnelle. Je n'ai jamais rêvé d'être n°1 mondiale ou de gagner un tournoi du Grand Chelem. Je n'ai jamais rêvé si grand, jamais. Je n'ai même jamais rêvé d'être dans le Top 10. J'espérais, mais je n'y croyais pas vraiment. Je pense que pas à pas, j'ai commencé à y croire, à rêver. Mais de choses proches, pas trop loin. Je ne pense pas que ça soit si positif, car je pense que c'est important de rêver. J'ai commencé à rêver étape par étape, pas en voyant trop loin. Pour moi, c'est très surprenant de voir des interviews de Nole (Djokovic), quand il était enfant, disant qu'il voulait devenir n°1 mondial et gagner Wimbledon. Je l'ai regardé dire ça, et je me suis dit que c'était incroyable qu'on puisse rêver de ça en étant enfant. Vous savez, je ne rêvais pas de ça quand j'étais enfant. C'est incroyable de voir Jannik (Sinner), quand il avait 15 ans, dire que son rêve était de devenir n°1 mondial. Pour moi, c'est quelque chose de différent. Je n'ai jamais rêvé d'être en finale d'un Grand Chelem. Et je suis ici et je suis si heureuse. Mais c'est différent, je suis un type de personne différent, je pense."
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